Transformation par le traitement

Une fois un syndrome de Cushing diagnostiqué,  il est possible de redonner une bonne qualité de vie au chien et de lui faire retrouver une bonne santé.

Grâce à une gestion efficace de la maladie et à un traitement approprié, il est possible d'améliorer la qualité de vie du chien et, par conséquent, la qualité de vie de son propriétaire.

Traitement du syndrome de Cushing :

  • Améliore la qualité de vie (des chiens et de leurs propriétaires)
  • Réduit les signes cliniques
  • Prévient les complications

Pourquoi utiliser Vetoryl ?

  • Contient du trilostane 
  • Traite à la fois le syndrome de Cushing d'origine hypophysaire et d'origine surrénalienne
  • Réversible, de sorte que la dose peut être adaptée pour produire l'effet désiré

Ce que le suivi peut apporter :

Garantit l'amélioration de la qualité de vie des chiens et, par conséquent, de la qualité de vie de leurs propriétaires.

Identifie si les chiens reçoivent une dose adéquate de Vetoryl pour contrôler les signes cliniques du syndrome de Cushing.

Identifie les chiens qui ne se portent pas bien, que le problème soit dû au trilostane ou à un autre facteur.

Quel est l'objectif du suivi du patient sous Vetoryl ?

Vetoryl est un traitement qui apporte d'importants avantages cliniques au patient. Chaque chien atteint du syndrome de Cushing est différent, tant dans sa présentation clinique que dans sa réponse au trilostane.

Une surveillance personnalisée est nécessaire pour s'assurer que la dose appropriée pour ce patient est obtenue. Après le début du traitement, il est nécessaire de s'assurer que la dose de Vetoryl prescrite est suffisante pour contrôler les signes cliniques du syndrome de Cushing.

Attention portée aux signes cliniques

L'évaluation de la concentration de cortisol sérique seule n'est pas fiable pour le suivi du syndrome de Cushing, il est donc essentiel de prêter une attention particulière aux signes cliniques pour évaluer le traitement.

Communication avec le propriétaire

Une excellente communication avec le propriétaire est essentielle pour vraiment comprendre comment se porte un chien sous Vetoryl.

Motiver un propriétaire à s’impliquer dans la prise en charge de son chien dès le diagnostic est bénéfique pour tous. Expliquer la nécessité de réaliser un suivi détaillé à la maison et fournir les outils pour une surveillance efficace peut aider à impliquer les propriétaires.

Suivi de vos patients sous Vetoryl

Lors du suivi d'un patient sous Vetoryl, l'accent doit être mis sur sa réponse clinique. Utilisez à la fois l'examen clinique et le dosage du cortisol ensemble pour décider des ajustements de dose.

VETORYL® 5 MG GÉLULE, VETORYL® 10 MG GÉLULE, VETORYL® 30 MG GÉLULE, VETORYL® 60 MG GÉLULE
Composition :
Vetoryl® 5 mg gélule : trilostane 5 mg, dioxyde de titane (E171) 0,942 mg, oxyde de fer jaune (E172) 0,035 mg, oxyde de fer noir (E172) 0,532 mg, excipient q.s.p. 1 gélule. Vetoryl® 10 mg gélule : trilostane 10 mg, dioxyde de titane (E171) 0,942 mg, oxyde de fer jaune (E172) 0,035 mg, oxyde de fer noir (E172) 0,532 mg, excipient q.s.p. 1 gélule. Vetoryl® 30 mg gélule : trilostane 30 mg, dioxyde de titane (E171) 1,190 mg, oxyde de fer jaune (E172) 0,045 mg, oxyde de fer noir (E172) 0,672 mg, excipient q.s.p. 1 gélule. Vétoryl® 60 mg gélule : trilostane 60 mg, dioxyde de titane (E171) 1,190 mg, oxyde de fer jaune (E172) 0,045 mg, oxyde de fer noir (E172) 0672 mg, excipient q.s.p. 1 gélule. Indications : chez le chien : traitement de l’hypercorticisme d’origine hypophysaire (maladie de Cushing) ou d’origine surrénalienne (syndrome de Cushing surrénalien). Contre-indications : ne pas utiliser chez les chiens atteints d’une affection hépatique primitive et/ ou souffrant d’insuffisance rénale. Ne pas administrer aux chiens pesant moins de 3 kg. Ne pas utiliser en cas d’hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients. Effets indésirables : une insuffisance surrénalienne complète doit être différenciée d’une hypocortisolémie isolée ou d’effets non spécifiques associés à une levée brutale de l’hypercorticisme, par l’évaluation des électrolytes sériques. Des symptômes associés à une insuffisance surrénalienne iatrogène tels que faiblesse, léthargie, anorexie, vomissements ou diarrhée peuvent être observés, particulièrement en cas de suivi insuffisant de l’animal. Ces signes sont généralement réversibles dans une période variable après l’arrêt du traitement. Une crise addisonienne aiguë (choc) peut aussi se produire. Une léthargie, des vomissements, de la diarrhée et une anorexie ont été observés chez des chiens traités au trilostane sans preuve pour autant d’insuffisance surrénalienne. Quelques rares cas isolés de nécrose de la glande surrénale ont été observés chez des chiens traités au trilostane, pouvant aboutir à une insuffisance surrénalienne. Le traitement par le trilostane peut démasquer une insuffisance rénale subclinique. Le traitement peut également révéler une polyarthrite jusque-là cachée, par la réduction des quantités circulantes de corticostéroïdes endogènes. Quelques morts subites en cours de traitement ont été rapportées. D’autres effets indésirables rares et de faible intensité peuvent apparaître : ataxie, salivation intense, ballonnements, trémulations musculaires et symptômes cutanés. Présentation : boites de 30 gélules. AMM : Vetoryl® 5 mg gélule : AMM n° FR/V/6227777 0/2020. Vetoryl® 10 mg gélule : AMM n° FR/V/3152825 4/2007. Vetoryl® 30 mg gélule : AMM n° FR/V/6667208 9/2006. Vetoryl® 60 mg gélule : AMM n° FR/V/1199745 6/2006. Usage vétérinaire. A ne délivrer que sur ordonnance.

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